Toute la Méditerranée est dans cette mosaïque, en profondeur et en surface.
J’ai compté 94 poissons mais je ne suis pas sûre du nombre.
Pourquoi le poisson (sardine ou dorade) a-t-il toujours été un fétiche dont on se pare ? Parce qu’il nage dans la mer ? Alors on pourrait accrocher à notre cou un poulpe, une crevette ou un crabe ! Ils vivent aussi dans le même environnement !
Au milieu de ce tableau se trouve une langouste dont la chaire devait être prisée, des oursins également, des anguilles. Un calamar au-dessus du pêcheur en bas, une crevette entre les deux barques du haut, une rascasse, un congre, des sardines dans les filets ! Ah, il manque une sole, elle a dû se cacher dans le sable.
La Méditerranée n’a pas changé. Nous non plus d’ailleurs.